Pendant que Praseuth s’avance vers nous en brandissant son couteau de boucher, je regarde désespérément autour de moi. Je cherche un outil, un bibelot, un livre, n’importe quoi qui pourrait me servir de projectile et que je pourrais balancer à la tête du gros homme. Mais la cabane est vide. Absolument vide.