s forment un groupe spécial parmi les emprunts. A la différence des emprunts ils
ne sont pas adaptés aux règles orthographiques ou phonétiques de la langue emprunteuse. Dans le
texte écrit les pérégrinismes sont souvent accompagnés de guillemets où d’italiques, glosés57
ou
même traduits. Pour faire la distinction entre les pérégrinismes et les emprunts directs, nous
utiliserons comme principe l'enregistrement du mot dans un dictionnaire du français courant le TLF
ou le NPR. C’est aussi selon Mortureux le signe le plus visible de l'appartenance du mot au lexique
français.58