En compagnie de Niallan et de sa mère, Boonsiri, j’attends au coin d’une rue. Chacun de nous transporte un sac en toile, car nous nous rendons au marché. Ce n’est pas un assemblage de comptoirs dans les rues où l’on vend fruits, légumes, viande et autres denrées. Nous attendons un taxi. Le trafic est si important à Bangkok que, même en dehors des heures de pointe, la circulation est bloquée. Le bruit est infernal et ça pue les gaz d’échappement. D’ailleurs, les conducteurs de moto portent des masques de tissu.