- Ceci est la seule chose positive du changement ! ponctua le vieux Fr translation - - Ceci est la seule chose positive du changement ! ponctua le vieux Fr Italian how to say

- Ceci est la seule chose positive

- Ceci est la seule chose positive du changement ! ponctua le vieux Frank, alors qu’il dégustait lui-même une petite tasse de café Touba. Et qui l’aurait jamais cru ? ajouta-t-il après un bref répit. Rome, capitale du monde, un jeune Africain qui vend des breloques et du café à des Italiens !... Mais tu es un jeune habile, fiston. C’est cela peut-être, ils viennent pour admirer ton spectacle. Ou par curiosité sans doute. Vrai, les gens aiment la différence. C’est l’esprit rebelle qu’ils viennent ici. Vois comme ils sont nombreux à se précipiter ici tous les soirs ! Jeunes comme adultes. Garçons comme filles. Mirmillons comme vestales... Toute une population !
Le vieux Frank s’était tu un instant avant de continuer d’un ton feutré comme s’il craignait de se faire entendre : « tu as de la visite jeune homme. » Il lorgnait de l’œil l’autre coté de la rue. « Rappelle-toi ce que je t’ai dit : rien que passion, et zéro sentiment. »
Doudou n’entendit pas. Le vieux, frustré, comme dans un ricanement poussa plus loin : « entre toute cette population, le bijou qui ravit la vedette à toute fréquentation profane, la belle, somptueuse, et intrigante Larissa ! » Il le dit à la manière des hérauts d’antan, comme pour introduire une grande personnalité, puis jeta un coup d’œil de travers au jeune Doudou, un rire farouche sur la lèvre.
Celui-ci, qui ignorait toujours les discours du vieux Frank lorsqu’il s’occupait d’un client, fut comme traversé d’un spasme à l’évocation de ce nom. Il jeta un regard vif du coté du vieil homme. Celui-ci était visiblement amusé. Doudou comprit…
Larissa refermait la portière de sa Chevrolet grise. Puis, soulevant le regard et voyant que Doudou l’observait, elle sourit et se mit en marche. Elle était vêtue d’un collant blanc qui dévoilait deux belles jambes épilées. Sa poitrine, assez forte, étouffait dans l’habit et finissait de tourner les yeux au jeune homme. Ses cheveux blonds lui tombaient sur les épaules. Larissa se maquillait peu. Elle était naturellement charmante, quoique son âge lui eût déjà porté quelque préjudice. Bref, c’était une de ces femmes entre deux âges qui conservent encore tout leur attrait physique. Doublement fringante alors…
- Je ne dérange pas j’espère, dit Larissa lorsqu’elle fut devant la table.
- Si que vous dérangez mademoiselle, s’indigna le vieux Frank. Les clients attendent et voyez ce jeune homme qui n’a rien à faire que de vous contempler. Remets-toi au travail Doudou. La fortune ne viendra jamais vers toi sinon.
- Euh… je sais ce que je dois, balbutia le jeune homme qui revenait de sa torpeur extatique. Il satisfit rapidement les deux ou trois clients qui attendaient. « Que puis-je…
- La même tasse que l’autre fois, l’interrompit Larissa. Doudou la lui tendit. « Merci ». Elle sourit, tourna les talons et s’en fut comme elle était venue. Le jeune homme accompagna la Chevrolet de son regard, jusque lorsqu’elle tourna au premier angle.
- Voyez-vous, je l’avais deviné depuis le premier jour. Mon fiston est amoureux. Ah… malédiction ! Tu quittes un continent pour un autre et t’y ruines pour une femme. Ciel !
- Mais comment ? fit Diego(…). La dame aussi était assez complice, il me semble. Au contraire, je ne vois ici qu’opportunités.
- Ah non, répliqua le vieux. Un autre jocrisse qui n’y comprend rien ! Opportunités vous avez dit ? Le vieux Frank s’esclaffa d’un rire rauque et saccadé avant de finir : « Etes-vous donc si aveugles ? »
- Je vous apprends que tout est possible ici vieil homme ! Je le dis par expérience. (..) répliqua avec fermeté Diego. Chaque homme peut avoir n’importe quelle femme, j’y ai toujours cru.
- Ah, machisme que tout cela !… et chaque femme ne peut-elle avoir n’importe quel homme ? demanda sur un ton agressif Clara (...).
Diego parut ne pas entendre :
- Tout l’argent que vous voulez que cet amour est possible ! Je parle par expérience, ce jeune homme est bien parti.
On se mit à le regarder bizarrement.
- Vous vous obstinez donc ? Pari soit ! avait hurlé le vieux Frank dans son exaltation, ou son indignation plutôt.
0/5000
From: -
To: -
Results (Italian) 1: [Copy]
Copied!
- Ceci est la seule chose positive du changement ! ponctua le vieux Frank, alors qu’il dégustait lui-même une petite tasse de café Touba. Et qui l’aurait jamais cru ? ajouta-t-il après un bref répit. Rome, capitale du monde, un jeune Africain qui vend des breloques et du café à des Italiens !... Mais tu es un jeune habile, fiston. C’est cela peut-être, ils viennent pour admirer ton spectacle. Ou par curiosité sans doute. Vrai, les gens aiment la différence. C’est l’esprit rebelle qu’ils viennent ici. Vois comme ils sont nombreux à se précipiter ici tous les soirs ! Jeunes comme adultes. Garçons comme filles. Mirmillons comme vestales... Toute une population !
Le vieux Frank s’était tu un instant avant de continuer d’un ton feutré comme s’il craignait de se faire entendre : « tu as de la visite jeune homme. » Il lorgnait de l’œil l’autre coté de la rue. « Rappelle-toi ce que je t’ai dit : rien que passion, et zéro sentiment. »
Doudou n’entendit pas. Le vieux, frustré, comme dans un ricanement poussa plus loin : « entre toute cette population, le bijou qui ravit la vedette à toute fréquentation profane, la belle, somptueuse, et intrigante Larissa ! » Il le dit à la manière des hérauts d’antan, comme pour introduire une grande personnalité, puis jeta un coup d’œil de travers au jeune Doudou, un rire farouche sur la lèvre.
Celui-ci, qui ignorait toujours les discours du vieux Frank lorsqu’il s’occupait d’un client, fut comme traversé d’un spasme à l’évocation de ce nom. Il jeta un regard vif du coté du vieil homme. Celui-ci était visiblement amusé. Doudou comprit…
Larissa refermait la portière de sa Chevrolet grise. Puis, soulevant le regard et voyant que Doudou l’observait, elle sourit et se mit en marche. Elle était vêtue d’un collant blanc qui dévoilait deux belles jambes épilées. Sa poitrine, assez forte, étouffait dans l’habit et finissait de tourner les yeux au jeune homme. Ses cheveux blonds lui tombaient sur les épaules. Larissa se maquillait peu. Elle était naturellement charmante, quoique son âge lui eût déjà porté quelque préjudice. Bref, c’était une de ces femmes entre deux âges qui conservent encore tout leur attrait physique. Doublement fringante alors…
- Je ne dérange pas j’espère, dit Larissa lorsqu’elle fut devant la table.
- Si que vous dérangez mademoiselle, s’indigna le vieux Frank. Les clients attendent et voyez ce jeune homme qui n’a rien à faire que de vous contempler. Remets-toi au travail Doudou. La fortune ne viendra jamais vers toi sinon.
- Euh… je sais ce que je dois, balbutia le jeune homme qui revenait de sa torpeur extatique. Il satisfit rapidement les deux ou trois clients qui attendaient. « Que puis-je…
- La même tasse que l’autre fois, l’interrompit Larissa. Doudou la lui tendit. « Merci ». Elle sourit, tourna les talons et s’en fut comme elle était venue. Le jeune homme accompagna la Chevrolet de son regard, jusque lorsqu’elle tourna au premier angle.
- Voyez-vous, je l’avais deviné depuis le premier jour. Mon fiston est amoureux. Ah… malédiction ! Tu quittes un continent pour un autre et t’y ruines pour une femme. Ciel !
- Mais comment ? fit Diego(…). La dame aussi était assez complice, il me semble. Au contraire, je ne vois ici qu’opportunités.
- Ah non, répliqua le vieux. Un autre jocrisse qui n’y comprend rien ! Opportunités vous avez dit ? Le vieux Frank s’esclaffa d’un rire rauque et saccadé avant de finir : « Etes-vous donc si aveugles ? »
- Je vous apprends que tout est possible ici vieil homme ! Je le dis par expérience. (..) répliqua avec fermeté Diego. Chaque homme peut avoir n’importe quelle femme, j’y ai toujours cru.
- Ah, machisme que tout cela !… et chaque femme ne peut-elle avoir n’importe quel homme ? demanda sur un ton agressif Clara (...).
Diego parut ne pas entendre :
- Tout l’argent que vous voulez que cet amour est possible ! Je parle par expérience, ce jeune homme est bien parti.
On se mit à le regarder bizarrement.
- Vous vous obstinez donc ? Pari soit ! avait hurlé le vieux Frank dans son exaltation, ou son indignation plutôt.
Being translated, please wait..
Results (Italian) 2:[Copy]
Copied!
- Questo è l'unico cambiamento positivo! scandito il vecchio Frank come egli stesso sapore di una tazza di caffè Touba. E chi l'avrebbe mai pensato? aggiunse dopo una breve tregua. Roma, la capitale del mondo, un giovane africano che vende chincaglieria e caffè italiani! ... Ma tu sei un giovane abile, figlio. Questo è forse, vengono a vedere il tuo spettacolo. O forse la curiosità. È vero, la gente ama la differenza. E 'lo spirito ribelle di venire qui. Vedere quanti si stanno affrettando qui ogni sera! Come giovani adulti. Ragazzi e ragazze. ! Mirmillons come Vestal ... A tutta la popolazione
Il vecchio Frank rimase in silenzio per un attimo prima di continuare con voce soffocata, come se avesse paura di essere ascoltato: «Avete le giovani visite dell'uomo. "Stava guardando l'occhio dall'altra parte della strada. «Ricordati quello che ti ho detto, nulla, ma la passione e il senso zero. "
Doudou non ha sentito. Il vecchio, frustrato, come un ghigno spinto oltre: "tra tutte queste persone, il gioiello che ruba la scena qualsiasi presenza profana, bella, bellissima e intrigante Larissa! "Ha detto che come i vecchi araldi di presentarvi una grande personalità, e poi gettare uno sguardo attraverso il giovane Doudou, una risata feroce sul labbro.
Quest'ultimo, ancora ignaro del discorso vecchio Frank, quando aveva a che fare con un cliente, era come uno spasmo attraversato alla menzione del nome. Lanciò un occhio attento sul lato del vecchio. Era visibilmente divertito. Doudou capito ...
Larissa chiuse la porta della sua grigia Chevrolet. Poi, alzando gli occhi e vedendo che Doudou stava guardando, lei sorrise e proseguì. Indossava un appiccicoso bianco che ha rivelato due belle gambe rasate. Il suo petto, abbastanza forte, soffocando l'abitudine di trasformare e finì i suoi occhi al giovane uomo. I suoi capelli biondi cadde sulle spalle. Larissa poco make-up. Era naturalmente affascinante, anche se la sua età aveva già portato qualche danno. In breve, era una di quelle donne di mezza età che ancora conservano la loro attrattiva fisica. Raddoppio Frisky così ...
- non mi dispiace Spero dice Larissa quando era a tavola.
- Se salta disturbare, era indignato vecchio Frank. I clienti si aspettano e vedono questo giovane con niente da fare, ma si guarda. Mettiti in opera Doudou. Fortune non verrà mai a voi altrimenti.
- Uh ... So quello che mi serve, 'balbettò il giovane uomo che è tornato dal suo torpore estatico. Ha rapidamente soddisfatto i due o tre clienti in attesa. "Quello che posso ...
- La stessa coppa come le altre volte interrotto Larissa. Doudou glielo porse. Grazie. Lei sorrise, si voltò e andò come era venuta. Il giovane ha accompagnato la Chevrolet suoi occhi, anche quando ha girato il primo angolo.
- Vedi, avevo intuito fin dal primo giorno. Mio figlio è innamorato. Ah ... maledizione! Si lascia un continente ad un altro, e le rovine lì per una donna. Cielo!
- ma come? Diego fatto (...). La signora era anche complice molto, credo. Al contrario, vedo qui qu'opportunités.
- Oh no, rispose il vecchio. Un altro sempliciotto che non capisce niente! Opportunità hai detto? Il vecchio Frank rise di una risata roca e scatti prima di terminare, "Sei così ciechi? "
- Ti sto dicendo che tutto è possibile qui vecchio! Lo dico per esperienza. (..) Con Diego ha risposto con fermezza. Ogni uomo può avere qualsiasi donna, ho sempre creduto in.
- Oh, tutto questo machismo e la donna ... lei può avere qualsiasi uomo? . chiesto in tono aggressivo Clara (...)
Diego sembrava non sentire:
- tutti i soldi che vuole questo amore è possibile! Parlo per esperienza, questo giovane è un buon inizio.
Abbiamo iniziato a guardare in modo strano.
- Così persistono? Bet per essere! urlò il vecchio Frank nella sua esaltazione, o meglio la sua indignazione.
Being translated, please wait..
Results (Italian) 3:[Copy]
Copied!
In caso contrario, la loro miseria, ha infine messo in piedi questo tipo di accordo. Spesso non hanno nemmeno bisogno di parlare. Doudou. Egli ha salutato il vecchio. QUEST'ultimo stava per fare la sua passeggiata mattutina e lo ha lasciato le valigie. Questi tempi o il vecchio uomo non è la sua salvezza, egli aveva capito che la giornata sarebbe difficile.- Questa è l'unica cosa positiva di cambiamento! I segni di punteggiatura il vecchio Frank, mentre egli antipasto ora sociale stesso una piccola tazza di caffè Touba. E chi avrebbe mai pensato? Ha aggiunto dopo una breve tregua. Roma, la capitale del mondo, un giovane africano che vende ninnoli e caffè per gli Italiani! ... Ma tu sei un giovane talentuoso, sonny. Questo può essere, essi ammirano il tuo spettacolo.O dalla curiosità senza dubbio. Vero, le persone che amano la differenza. E' lo spirito ribelle che arrivano qui. Vedere come sono in tanti a correre qui tutta la notte! I giovani come gli adulti. Ragazzi come le ragazze. Come Mirmillons vestale... Un'intera popolazione!
Il vecchio Frank tu un momento prima di continuare con il tuo sentire come se si teme di essere ascoltato:"Tu hai la visita giovane. "Ha avuto invidia dell'occhio l'altro lato della strada. "Ricordati di ciò che ho detto di te: non c'è nulla che la passione, e senza senso. "
Doudou sia ascoltata. Il vecchio, frustrato, come in una si sentono ridacchiare andava oltre: "tra l'intera popolazione, la gemma disillude i riflettori in qualsiasi partecipazione laico, la bella, ricca e intrigante Larissa!" Ha detto alla maniera del araldi del passato, per introdurre una grande personalità, e poi si gettò uno sguardo ai giovani Doudou, un feroce ridere sul labbro.
QUEST'ultimo, che ancora non conosce il discorso del vecchio Frank quando egli ha partecipato a un cliente, è stato come passare attraverso uno spasmo alla evocazione di questo nome. Gettò un rapido sguardo dal lato del vecchio.QUEST'ultimo era visibilmente divertito. Doudou sapeva...
Larissa chiusa la porta del suo grigio Chevrolet. Poi, sollevando la prossima e vedendo che Doudou, sorrise e cominciò a correre. Era vestito di una bianca e densa che ha presentato due belle gambe depilate. Il suo torace, abbastanza forte, è stata soffocata con l'abito e si è conclusa a sua volta gli occhi al giovane.I suoi capelli biondi erano scese a lui sulle spalle. Larissa se maquillait poco. Si è naturalmente affascinante, anche se la sua età aveva già in sé alcuni pregiudizi. In breve, è stato una di queste donne tra due secoli che conservano ancora tutta la loro attrazione fisica. Doppiamente esuberante amico poi...
- Non mi importa spero, detto Larissa quando era prima della tabella.
- Se si disturbare mademoiselle, indignato il vecchio Frank. I clienti si aspettano e vedere questo giovane uomo che non ha niente a che fare a contemplare. Mani-te a lavorare Doudou. La fortuna non mai a te altrimenti.
- Uh, so ciò che devo, balbutia il giovane che stava tornando dal suo torpore estatico. Non coglierlo rapidamente le due o tre clienti che sono in attesa."Che poi, ecc.
- Lo stesso calice come le altre volte, l'orchestra Larissa. Il Doudou raggiunge il suo arido. "Grazie". Si mise a sorridere, ha girato i tacchi e andò come era venuto. Il giovane accompagnato la Chevrolet ai suoi occhi, fino a quando lei si è rivolta al primo angolo.
- Vedete, io aveva intuito fin dal primo giorno. Mio figlio è in amore. Ah... maledizione!Tu ci ha lasciato un continente ad un altro e tu ci resti per una donna. Sky !
- Ma come? Montare Diego(ecc. ). La signora era complice, mi sembra. Al contrario, vedo soltanto opportunità.
- Ah no, rispose il vecchio. Un altro jocrisse che capisce niente! Opportunità hai detto? Il vecchio Frank è esclaffa una chiassosa risata e a scatti prima finitura:"Siete così se cieco? "
- vi dico che tutto è possibile qui vecchio! Lo dico per esperienza. ( ..) ha risposto con fermezza Diego. Ogni uomo può avere qualsiasi donna, ho sempre creduto.
- Ah, machismo che tutto questo !… e ogni donna può avere i diritti? Chiesto su un aggressivo tono Clara ( ... ) .
Diego sembrava non ascoltare:
Being translated, please wait..
 
Other languages
The translation tool support: Afrikaans, Albanian, Amharic, Arabic, Armenian, Azerbaijani, Basque, Belarusian, Bengali, Bosnian, Bulgarian, Catalan, Cebuano, Chichewa, Chinese, Chinese Traditional, Corsican, Croatian, Czech, Danish, Detect language, Dutch, English, Esperanto, Estonian, Filipino, Finnish, French, Frisian, Galician, Georgian, German, Greek, Gujarati, Haitian Creole, Hausa, Hawaiian, Hebrew, Hindi, Hmong, Hungarian, Icelandic, Igbo, Indonesian, Irish, Italian, Japanese, Javanese, Kannada, Kazakh, Khmer, Kinyarwanda, Klingon, Korean, Kurdish (Kurmanji), Kyrgyz, Lao, Latin, Latvian, Lithuanian, Luxembourgish, Macedonian, Malagasy, Malay, Malayalam, Maltese, Maori, Marathi, Mongolian, Myanmar (Burmese), Nepali, Norwegian, Odia (Oriya), Pashto, Persian, Polish, Portuguese, Punjabi, Romanian, Russian, Samoan, Scots Gaelic, Serbian, Sesotho, Shona, Sindhi, Sinhala, Slovak, Slovenian, Somali, Spanish, Sundanese, Swahili, Swedish, Tajik, Tamil, Tatar, Telugu, Thai, Turkish, Turkmen, Ukrainian, Urdu, Uyghur, Uzbek, Vietnamese, Welsh, Xhosa, Yiddish, Yoruba, Zulu, Language translation.

Copyright ©2024 I Love Translation. All reserved.

E-mail: