Elle demande alors l’intervention du notaire Cruchot qui conseille au père Grandet qu’il serait dans son intérêt de se réconcilier avec sa fille, celle-ci, seule héritière, pouvant en effet réclamer une part de la succession si sa mère venait à disparaître. C’est dans ces conditions que Félix Grandet accepte de se rabibocher avec sa fille, comptant bien lui faire renoncer à cette part d’héritage.