. L’image que les usagers ont de leur
langue est positive. À la différence des Québécois, la collectivité
française ne s’est jamais sentie menacée par la suprématie de
l’anglais. Elle n’a jamais été obligée de lutter pour se construire
une identité socioculturelle, c’est-à-dire pour exister, pour se
reconnaître à travers une histoire, une culture forte qui permet
la liberté de parole, d’écriture et d’action.