RÉOUVERTURE
Découvrez les salles Louis XIV qui proposent un vaste panorama du XVIIe siècle, en mettant en scène le roi, sa famille, la cour et les grands événements politiques, militaires et artistiques qui ont marqué son règne.
Informations pratiques
Accès en visite libre
Ouvertures prévues du mardi au dimanche.
De 9h à 16h30
Accès avec un billet Passeports ou Château
Intégré au circuit principal de visite (entre la galerie de l’Histoire du Château et les Grands Appartements)
Accès en visite guidée
Visite guidée "Louis XIV et la création de Versailles", 2 à 4 visites par mois : voir les dates.
Visite en famille "Savoir-vivre chez le roi" ou "Le roi et sa famille", pendant les vacances scolaires : voir les dates.
Les salles Louis XIV
Les salles Louis XIV sont situées au premier étage de l’aile Nord du Château, entre l’Opéra Royal, qui en occupe l’extrémité, et le corps central, siège des Grand Appartements.
Comme un prélude à la visite des Grands Appartements, ces salles retracent le siècle de Louis XIV à travers une galerie de peintures. Depuis l’enfance du roi jusqu’à la création des académies, les portraits des ministres et des dames de la cour succèdent aux campagnes militaires et aux réceptions d’ambassadeurs.
Des œuvres célèbres, tel le portrait de Turenne par Charles Le Brun ou celui de Madame Palatine par Hyacinthe Rigaud, y côtoient des scènes aux dimensions imposantes, tel L’Etablissement de l’Académie des sciences (six mètres de large) par Henri Testelin.
Cet espace, qui a connu diverses affectations au cours des siècles, a gardé son charme des origines. Sous le règne de Louis XIV, il était occupé par des appartements des princes du sang. Ceux-ci ont été détruits sous Louis-Philippe pour laisser place à une partie du musée de l’Histoire de France.
La présentation actuelle est fidèle à cet esprit initial : les coloris des tentures de velours gaufré rappellent ceux du Grand Siècle, le mobilier figure la vocation d’appartements tandis que la densité des œuvres évoque l’accrochage « à touche-touche » en vogue au XIXe siècle.