Ils dépendent du chili pour le carburant et le ravitaillement aérien quotidien. Ils parlent l'espagnol et doivent se rendre en Amérique du sud pour suivre des études supérieures. En parallèle, des migrants chiliens, attirés notamment par l'exonération d'impôt sur le revenu,sont heureux d'accepter les travaux que les locaux méprisent.